sábado, 8 de septiembre de 2012

"LE VÉLIB"

 
   
Le Vélib
                                                                  7 septembre 2012 (Le Monde) .
Le Vélib´parisien s´appelle Velodi à Dijon, Vélocité à Besançon ou Bicloo à Nantes. Quelque 350 villes sont équipées en Europe, parmi lesquelles 35 en France où 41 000 cycles sont mis à disposition des abonnés, dont plus de la moitié - 22 000 - à Paris. "Grâce aux Vélov´, en très peu de temps, on a doublé le trafic cycliste à Lyon. Les gens se sentent plus à l´aise sur une selle, la municipalité installe des pistes cyclables, des magasins pour cyclistes ouvrent. Dans les années 1990, on a développé le réseau cyclable ; dans les années 2000, on a généralisé le vélo partagé. Dans cinq ans, on aura apaisé la ville, limité la vitesse des voitures à 30 km/h, amélioré le stationnement des vélos et lancé de vraies opérations de promotion. En Suisse, le service "constitue un outil de promotion, qui rend le vélo visible dans la ville". Le vélo en libre-service se cantonne surtout aux villes francophones du pays, où les citadins sont moins habitués à pédaler. Le constat est le même aux Pays-Bas, où chaque particulier dispose de sa propre bicyclette, utilisée tous les jours ou presque.
UN SERVICE QUI COÛTE CHER

Malgré tout, certains élus s´interrogent.
Le service coûte cher. "Entre 2 500 euros et 4 000 euros par an et par vélo",
                  Pour M. Héran,                              noticias@traidunion.com.ar
               Olivier Razemon
La bicicleta  « Le velib » parisina, se la llama de diferentes maneras en según la ciudad en la que se la utilice.
Velodi en Dijon.
Velocidad en Besançon.
 Bicloo en Nantes
Gracias a "Vélov », se ha multiplicado el trafico de ciclistas en Lyon.
Las personas se sienten más cómodas, la municipalidad instala pista para ciclistas y los negocios para bicicletas son más numerosos. En 1990, se desarrolló la red para bicicletas en el 2000, la bicicleta compartida. En cinco años, la ciudad será más libre de circulación, el límite de velocidad de los automóviles será de 30 k/h, se mejorará el estacionamiento de las bicicletas y se promocionara la compra de las mismas. En suiza, es considerado útil pero no indispensable.  En cuanto al País Vasco, cada persona tiene su propia bicicleta y la utiliza casi todos los días.

UN SERVICIO QUE CUESTA CARO: Entre 2.500 y 400 euros por año y por bicicleta, los concejales de las ciudades se preguntan si vale la pena mantenerlas.



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