miércoles, 30 de abril de 2014

LE MUGUET ET LE 1ER MAI...


 

Le Premier mai ou journée internationale des travailleurs est une fête internationale instaurée à l'origine comme journée annuelle de grève pour la réduction du temps de travail, qui devint rapidement une journée de célébration des combats des travailleurs.
Elle est célébrée dans de nombreux pays du monde et est souvent un jour férié ; le 1er mai est l’La fête internationale tire son origine des combats du mouvement ouvrier pour obtenir la journée de huit heures, à la fin du xixe siècle1, occasion d’importantes manifestations du mouvement ouvrier
Les fleurs du premier mai
Le 1er mai, avant d'être la journée des travailleurs, était célébré en Europe pas les coutumes de l'arbre de mai. Il en subsiste quelque chose dans certains des premiers défilés. Une des jeunes filles victimes de la fusillade de Fourmies, Marie Blondeau, participait à cette manifestation en robe blanche, portant des branches d'églantine. ( rose)
En 1907, à Paris, le muguet, remplace l'églantine. Le brin de muguet est porté à la boutonnière avec un ruban rouge11. Au début du xxe siècle, il devient habituel, à l'occasion du 1er mai, d'offrir un brin de muguet, symbole du printemps en Île-de-France. Une tradition parisienne voulait que les forts des Halles portent le muguet au président de la République au Palais de l'Élysée le matin de chaque premier mai.
 Aujourd'hui, une tolérance de l'administration fiscale dans certaines communes permet aux particuliers et aux organisations de travailleurs de vendre les brins de muguet sans formalités ni taxes sur la voie publique en respectant toutefois les autres obligations légales (il s'agit par exemple de muguet du jardin ou des bois et non pas de muguet acheté, sinon ce serait de la revente).

viernes, 18 de abril de 2014

Felices Pascuas!!!!


Qué celebramos el domingo de Pascua y por qué comemos huevos de chocolate

Detrás de los huevos de Pascua y la gastronomía particular de la Semana Santa se encuentra latente la historia. Qué se celebra y cuál es la tradición que se recrea cada año.

Pascuas y Semana Santa también son sinónimo de huevos de chocolate.
Pascuas y Semana Santa también son sinónimo de huevos de chocolate.
14/04/2014 19:37
La Pascua de Resurrección es la celebración cristiana que conmemora la resurrección de Jesucristo. Su fecha de celebración varía entre el 22 de marzo y el 25 de abril, ya que tiene lugar el domingo siguiente a la primera luna llena de primavera del hemisferio norte.
Tanto en las religiones cristianas como la judía, la Pascua (el Pésaj) tiene una gran importancia litúrgica. Sus orígenes son diversos, de acuerdo a la religión o civilización de que se trate.
Pero, Pascuas y Semana Santa también son sinónimo de huevos de chocolate. Hoy, es uno de los elementos gastronómicos pascuales más universales. Incluso los judíos incorporan los huevos duros a su cena de Pascua, el Séder, para recordar el corazón duro del faraón Ramsés II.
Recién en la Edad Media se inicia la práctica de regalar los huevos pintados y decorados. Algunos sostienen que esa costumbre deriva de la prohibición que estableció la Iglesia Católica a consumir huevos, entre los siglos IX y XVIII. Entonces, se los cocía durante la Cuaresma y se los pintaba para diferenciarlos y así poder comerlos el Domingo de Pascua.
Con el tiempo, estas tradiciones fueron incorporadas a la festividad de Pascua de Resurrección y hoy en día los huevos son un símbolo universal. Para muchos, el huevo se asemeja a la resurrección. Incluso muchas otras civilizaciones, como la de los romanos, chinos o persas, lo utilizaron como un símbolo universal de fertilidad y nacimiento, asociándolo también a conceptos como alegría y regocijo.
El comercio y la modernidad, por su parte, se encargaron de incorporar los huevos de chocolate y de plástico para rellenar con dulces. Según la leyenda, estos elementos son escondidos por el conejo de Pascua para que los niños los busquen.
El primer registro histórico que se tenga acerca de los huevos de chocolate se remonta al siglo XVI, en la Corte del Palacio de Versalles en Francia. Un regalo para el rey francés Francisco I es el primer huevo de chocolate documentado. En su interior, se dice, había grabada una representación de la Pasión de Cristo. Recién a principios del siglo XIX, en Francia, Alemania e Italia, se popularizó la tradición de regalar huevos de chocolate en Semana Santa.
Versiones más formales del mundo católico señalan que la tradición de buscar los huevos representa a las mujeres que llegaron a la tumba a buscar el cuerpo de Cristo y a quienes un ángel les preguntó: “¿Por qué buscan entre los muertos al que está vivo?
Celebrar la vida nueva
» En muchas culturas, los huevos significan vida y fertilidad.
» Un simbolismo cristiano del huevo puede ser el del principio del universo y de la creación, el sentido de una vida nueva.
» Tal como indica la Pascua: una vida nueva que, para los cristianos, la trae Jesús resucitado.
» Celebrar la pascua, al igual que cualquier otra tradición o festividad, es doblemente gratificante si se conoce el significado de la misma. No hay que olvidar lo que esta celebración representa para la vida religiosa.
En Argentina
Acá se conserva la tradición de regalar huevos de Pascua decorados artesanalmente con glasé multicolor, o bien en chocolate.

sábado, 5 de abril de 2014

LES LIVRES DE MARGUERITE

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MARGUERITE DURAS


L'élan d'une jeune écrivaine (1914-1950)

Marguerite DurasMarguerite Duras, de son vrai nom Marguerite Donnadieu, est née le 4 avril 1914 à Gia Dinh, une ville de la banlieue Nord de Saïgon. A l'âge de 5 ans la jeune Marguerite vit toujours à Saïgon lorsque son père Emile meurt, en France. Deux ans plus tard, en 1923, sa mère s'installe avec ses trois enfants à Vinh Long, une ville située dans le delta du Mékong.
Marguerite Donnadieu passe toute son enfance au Viet-Nam. En 1932, alors qu'elle vient d'obtenir son baccalauréat, elle quitte Saïgon et vient s'installer en France pour poursuivre ses études. Elle obtient en 1963 une licence en droit.
Cette même année elle rencontre un certain Robert Antelme qu'elle épousera en 1939. De cette union naîtra en 1942 un premier enfant malheureusement mort-né. Cette période troublé dans la vie de Marguerite Donnadieu sera marquée également par la rencontre de son futur second mari, Dionys Mascolo.
En 1943 Marguerite et Robert Antelme déménage, ils s'installent au 5 rue St Benoît, à Paris, dans le quartier de St Germain des Près. Robert Antelme et Dionys Mascolo se lient d'une profonde amitié et avec Marguerite entrent dans la résistance. En parallèle Marguerite Donnadieu publie un premier ouvrage sous le pseudonyme de Marguerite Duras : "Les Impudents" (Editions Plon). L'année suivante elle passe chez Gallimard et fournit son deuxième ouvrage, "La Vie tranquille". 1944 est l'année qui marque l'arrestation de son mari Robert, déporté à Dachau. Marguerite s'inscrit alors au PCF, la Parti Communiste Français. A la libération Robert Antelme est libéré dans un état critique, il rejoint son épouse dans son domicile parisien. En 1947 Marguerite Duras divorce et se remarie avec Dionys Mascolo dont elle aura rapidement un enfant prénommé Jean.

Vers la diversification des activités (1950-1968)

En 1950 Marguerite Duras quitte le PCF, elle publie "Un Barrage contre le Pacifique ", une oeuvre majeure commencée trois ans plus tôt, puis en 1952 "Le Marin de Gibraltar", et en 1955 "Le Square". En 1957 elle rencontre Gérard Jarlot, avec qui elle va collaborer pour de nombreuses adaptations théâtrales ou cinématographiques. En parallèle sa vie personnelle est bousculée par deux évènements majeurs : elle se sépare de son second mari et sa mère décède.
Poursuivant son œuvre littéraire, Marguerite Duras publie en 1958 "Moderato Cantabile" alors que les salles de cinéma mette pour la première fois à l'affiche une adaptation d'un de ses livres, "Barrage contre le Pacifique", de René Clément. Ses droits d'auteurs commencent à lui apporter une certaine aisance, ce qui lui permet d'aménager dans une maison individuelle à Neauphle-le-Château. Lancé dans le cinéma, elle signe les dialogues d'Hiroshima mon amour, d'Alain Resnais.
Cette multiplication des activités fait reconnaître Marguerite Duras au niveau national. De 1960 à 1967 elle est membre du jury Médicis. Politiquement marqué à gauche malgré l'abandon de sa carte de membre du PCF, elle milite activement contre la guerre d'Algérie, dont la signature du "Manifeste des 121", une pétition sur le droit à l'insoumission dans la guerre d'Algérie, est le fait le plus marquant.
En 1963 elle commence l'écriture du "Vice-Consul", puis en 1964 elle publie "Le Ravissement de Lol V. Stein ", un nouveau roman, et l'année suivante sa première œuvre théâtrale, "Théâtre" (tome I, éditions Gallimard). Active dans les évènements de mai 1968, elle poursuit toutefois la diversification de ses activités théâtrales en créant la pièce "L'Amante anglaise", mise en scène par Claude Régy.

La reconnaissance (1968-1996)

Marguerite DurasEn 1969 elle passe à la réalisation cinématographique avec "Détruire, dit-elle". Puis en 1972 sa maison sert de décors à "Nathalie Granger", son nouveau film, puis elle écrit tour à tour "India Song" et "La Femme du Gange", qu'elle tourne au cinéma (Catherine Sellers, Gérard Depardieu, Dionys Mascolo)
En 1973 "India Song" est transformé en pièce de théâtre et parallèlement en film (sorti en salles en 1975). En 1977 c'est "Le Camion" qui sort au cinéma, un film marqué par l'apparition de Duras en tant qu'actrice (rôle succinct). Cette période prolifique pour elle se poursuit avec la réalisation en 1979 de quatre courts-métrages : "Les Mains négatives", "Césarée", "Aurélia Steiner-Melbourne" et "Aurélia Steiner-Vancouver".
A partir du début des années 80, Marguerite Duras poursuit la multiplication de ses activités avec la réalisation de "Dialogue de Rome", un film commandé par la RAI Italienne, puis suivront "Savannah Bay", "La Maladie de la mort" et en 1984 "L'Amant", un roman largement autobiographique reprenant la trame de son enfance. En 1985 elle met en scène "La Musica deuxième" au théâtre Renaud-Barrault, puis elle publie "Yann Andréa Steiner" (1992, éditions POL), "Ecrire" (1993, Gallimard) et "C'est tout" (1995, éditions POL)
Marguerite Donnadieu, dit Marguerite Duras s'est éteinte le 3 mars 1996 à son domicile parisien de St Germain des Près.


jueves, 3 de abril de 2014

Un peu de poésie




                             
 «  Le cancre »     Recueil : "Paroles"
Il dit non avec la tête
mais il dit oui avec le coeur
il dit oui à ce qu’il aime
il dit non au professeur
il est debout
on le questionne
et tous les problèmes sont posés
soudain le fou rire le prend
et il efface tout                                             
les chiffres et les mots
les dates et les noms
les phrases et les pièges
et malgré les menaces du maître
sous les huées des enfants prodiges
avec les craies de toutes les couleurs
sur le tableau noir du malheur

il dessine le visage du bonheur.
                                                    Jacques PRÉVERT